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UZES-MARRAKECH-LILLE-OSTENDE-BELLA-LA HABANA-10/2007-03/2008

30 mars 2008

SUR LES MONTS

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Mars 2008. L'hiver survit sur les monts cévenols. Le printemps pose ses premiers jalons avec une lenteur extrème. Hier, je battais la campagne en short et chemisette, ce matin j'ai ressorti mon gros chandail. Rien ne presse, qu'il neige encore cette nuit sur le Mont-Lozère, qu'il vente sur les contreforts ardéchois, nous allons à pas lents vers les beaux jours. Et dans mon jardinet de la Luquette, je savoure la floraison lente de mes 2 cerisiers et d'un petit pêcher à fleurs roses que j'ai planté voilà trois semaines : c'est la première chose que je regarde chaque matin par la petite lucarne carrée de ma salle de vie. Rien ne presse, laissons les fleurs éclore sans hâte devant nos fenêtres. Tout cela mérite bien une petite ritournelle :

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____SUR_LES_MONTS____

En cette fin Mars,

c'était le trente septième anniversaire de la disparition de mon père.

37 ans, 148 saisons, un souffle, une éternité. 

Salut le père :

http://www.dailymotion.com/video/x4x9xb_mon-vieux_people

Page suivante :  ~~ AUX PREMIERS JOURS D'AVRIL ~~

 

 

 

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25 mars 2008

A VENDRE

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A Barjac, dans le Haut-Gard, chaque week-end de Pâques,

la foire annuelle des brocanteurs bat son plein.

Tous ces regards, toutes ces toiles sont à vendre...

Tous ces poupons pathétiques au regard souvent orphelin,

attendent une maman, ou un papa...

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Nous avons flashé sur ELLE. Christine demande le prix :

100 euros, sans marchander.

Le temps de faire un petit tour des stands, et la Belle avait trouvé preneur...

Comme une histoire d'amour qui vous passe sous le nez...

Salut la Belle...

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Lui n'était pas à vendre.

Comme nous, Hugues AUFRAY chinait...

Et comme Jean FERRAT, Hugues Aufray habite un petit village

aux confins du Haut-Gard et de l'Ardèche...

Salut Hugues, Santiano, cela mérite bien un petit bateau...

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C'est un fameux Trois-Mâts fin comme un oiseau,

hisse et ho, Santiano...

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Sur le parking de Barjac,

ma soeur Christine est bien tentée d'emprunter cette traction Citroën

en souvenir du bon vieux temps de notre enfance,

quand notre Grand-Père Gabriel nous emmenait faire un tour

à bord de ce prestigieux véhicule, sur les petites routes du Gharb, Maroc...

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Dans la vitre arrière de cette voiture surgie du passé,

plein de souvenirs, d'odeurs qui reviennent de très loin,

de ces cieux anciens dont on ne se sépare jamais.

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Je sais, moi qui suis fou,

que tous les hommes sont des êtres écartelés.

Entre ces êtres écartelés,

qu'il s'agisse de parents et d'enfants ou de couples,

est-il possible que l'amour existe?

(OOKA Shohei, Les Feux, 1952)

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Sincèrement, j'ai hésité à la poster celle-là,

parce que les robes noires,

cela me fout des aigreurs :

trop souvent, elles entretiennent la misère du monde

pour mieux s'en nourrir.

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Et vous,

Y croyez-vous encore un peu,

aux cieux?

http://www.dailymotion.com/video/x4uir8_croire-aux-cieux_people

Page suivante :  ~~ SUR LES MONTS ~~

 

 

 

21 mars 2008

ASI PASAN LOS DIAS

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http://www.dailymotion.com/video/x4scf1_asi-pasan-los-dias_people

Asi pasan los dias...

Ainsi s'en vont les jours...

Page suivante :  ~~ A VENDRE ~~

 

 

 

15 mars 2008

SILLAGES

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Je suis né dans un port, et depuis mon enfance, 

J'ai vu passer par là des pays bien divers.

Attentif à la brise et toujours en partance,

Mon coeur n'a jamais pris le chemin de la mer.

Je connais tous les noms des agrès et des mâts,

La nostalgie et les jurons des capitaines,

Le tonnage et le frêt des vaisseaux qui reviennent

Et le sort des vaisseaux qui ne reviendront pas.

( Jean DE LA VILLE DE MIRMONT, L' Horizon chimérique )

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Montez, montez !

Je vous emmènerai de race en race,

Vous verrez tous les Orients,

Le Proche, le Grand, l' Extrème...

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Les mers de Chine, du Nord au Sud, sont des mers étroites,

des mers semées de traverses prévues ou imprévues,

telles que bancs de sable, îles, récifs, courants changeants et rapides,

mêmes évènements quotidiens dont le langage inarticulé

est clairement compris par les marins...

( Joseph CONRAD, Typhon, 1899 )

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Qui était cette Lia? demandé-je.

Une petite. On l'appelle encore Mietze.

C'est une créature de la nuit que j'ai connue et que j'ai perdue

il y a environ un mois de cela...

( Pierre MAC ORLAN, Mademoiselle Bambi )

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J'étais le pourvoyeur tenace de la ville,

celui qui joint les quais aux lointains continents.

Mes bras noirs se levaient encore contre le firmament

comme une affirmation tranquille de l' Empire.

J'ai déchargé du blé qui venait du Mexique,

des sacs de quatre-vingts dans les midis d'été,

du charbon, caboteur des petits ports anglais,

et des machines agricoles d' Amérique...

( Louis BRAUQUIER, Mort du Docker )

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Au-dessus du port, le ciel avait la tendresse d'un premier matin.

Une écume nette et vigoureuse nacrait le bleu de la mer...

( Daniel RONDEAU, Alexandrie )

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Un soir qu'il pleuvait sur Hambourg,

et que les nuages fantastiques

rassemblaient leurs bandes agressives dans la direction de la mer,

nous allâmes manger et boire à Altona,

devant l'Elbe mélancolique et gris de plomb.

( Pierre MAC ORLAN )

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Soyez bonnes ce soir aux hommes d'équipage

Qui descendent vers vous dans l'ombre de l'escale,

Avec des coeurs si lourds et de si doux langages

Etrangers, mots chantés dans les mâts de l'espace.

Soyez simples pour ceux que cette mer vous donne,

Et que leur solitude épouse votre mal,

Pour les hommes du Pont, pour ceux de la Machine,

Pour le novice ému du port méridional.

Ils dérivent au creux de ruelles impures,

Vers les bars internationaux de ce quartier

Vieux comme cet amour fleuri de meurtrissures

Sur lequel vient mourir le corps du monde entier...

( Louis BRAUQUIER, Le Bar d' Escale )

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Le FADO est né un jour quand le vent soufflait à peine

et que le ciel sortait de mer, sur le pont d'un voilier,

dans le coeur d'un marin qui était triste et qui chantait...

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Hardis moussaillons !!!

Reprenons tous en coeur le chant des Terre-Neuvas :

http://www.dailymotion.com/video/x4pur5_terres-neuvas_travel

Page suivante :  ~~ ASI PASAN LOS DIAS ~~

 

 

13 mars 2008

NOTRE COUSIN D' AMERIQUE

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Salut Michel, nous avons eu bonheur à te voir, à bientôt du côté d'Oka, O.K ?

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http://www.dailymotion.com/video/x4p0m5_si-seulement_family

Si seulement, si seulement...

Page suivante :  ~~ SILLAGES ~~

 

 

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10 mars 2008

BON ANNIVERSAIRE SEBASTIEN

 

 

 

 

 

 

 

 

 A Llansa, avec Anne-Laure qui prend déjà des allures de star...

 

 

 

 

 

Rochebelle, trop petit pour participer à la compétition.

J'avais menti d'un an sur ton âge, et tu avais gagné une belle médaille...

Tel père, tel fils...

 

 

 

 

 

Au pied des dunes de Moulay Bousselham, la plus belle plage du monde...

 

 

 

 

 

J'avais pêché ce sar au fer à cheval,

devant la maison de mon parrain ce héros, toujours à Moulay Bousselham.

J'avais préféré pour cette capture, comme d'habitude, mon fusil harpon.

Pêcher un sar à la canne est beaucoup plus difficile parce que SAR BAT CANNE hé hé ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sébastien dans ses eaux  préférées à Puerto de la Selva.

 

 

 

 

 

Avec une poulette du Coq, le châtelain de Dordogne...

 

 

 

 

 

Les Saintes, Terre de Haut, sur le chemin du Fort Napoléon,

au-dessus d'une des plus belles baies du monde.

Le Pain de Sucre de Terre de Haut sur la gauche,

et tout au fond, Terre de Bas...

 

 

 

 

 

A bord de la belle MARIA.

14 juillet oblige, j'avais fait hisser le Grand Pavois...

 

 

 

 

 

Avec Babouche, qui avait failli s'appeler Mistouflare...

 

 

 

 

 

 

 

 

Grâce à la lettre d'Anne-Laure,

on peut dire que notre Babouche est née en 1993, elle a donc 15 ans cette année...

C'est une sacréee vieille qui ne fait pas du tout son âge...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BON ANNIVERSAIRE Sébastien, 21 ans cela fait pile pile pile 3 fois l'âge de raison. Continue à être doux et paisible, respecte tes professeurs, tes supérieurs, tes patrons et tes parents, n'oublie jamais que c'est par le travail qu'on construit sa maison et son avenir. N'oublie jamais non plus que rien n'est jamais grave dans la vie, absolument rien, parfois tu crois voir devant toi une montagne alors que ce n'est qu'une colline... Rien n'est jamais grave dans la vie tant qu'on a la santé : Il faut donc être toujours attentif à ce capital-santé que la nature nous donne à la naissance, il faut le respecter : manger raisonnablement, ne pas fumer, ne pas s'alcooliser. Il faut s'oxygéner, respirer le grand air à toutes les saisons et à toutes les sauces....

 

 

 

 

Tel père, tel fils...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trop cool notre "car bleu". En plus, sur la route,

les gens nous prenaient pour des gendarmes,

les voitures ralentissaient et on pouvait les doubler plus facilement...

 

 

 

 

 

En parlant de gendarmes, pas difficile de reconnaitre ma bobine...

Avec ma casquette, je suis le seul gendarme maritime de l'équipe.

Photo prise à Chaumont, la ville de mon oncle Dany,

le plus grand pêcheur de mérous de la planète, en Novembre 1990.

Cette année-là, Sébastien avait 3 ans.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Là je partais une fois de plus pour un long embarquement,

 billet d'avion dans ma poche de chemise.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une musique assez rare pour fêter l'anniversaire de Sébastien. Cette musique a une histoire : en 2002, j'avais été détaché sur un superbe Fast Ferry, le JOSEFA CAMEJO, sur la ligne Venezuela/Aruba/Curaçao. Un jour, alors que j'achetais des CD de musique locale à un vendeur de rue, à Coro, Etat de Falcon, deux militaires nous empoignent sans ménagement. Comme à mon habitude, je n'ai pas de passeport sur moi (pour éviter les vols), je n'ai enfoui au fond d'une poche qu'une petite liasse de bolivares et une carte bleue. J'ai dit une phrase au hasard : "Yo soy el capitàn francès del Josefa Camejo". Coup de chance, c'était la bonne phrase. Nos deux militaires m'ont lâché illico presto, se mettant presque au garde à vous, et embarquant dans la foulée de leurs 4 poignes, le pauvre vendeur de rue. J'ose espérer qu'ils n'ont fait que lui prendre l'argent que je venais de lui donner. J'ai eu la chance de bénéficier de la notoriété du lancement de ce navire que la population attendait avec impatience après le naufrage du précédent bateau quelques années plus tôt.

http://www.dailymotion.com/video/x4oirk_adelante-venezuela_travel

 

 

 

 

La belle  "JOSEFA CAMEJO"  en Mars 2002.

 

 

 

 

Un vendeur de hamacs, La Vela de Coro, Province de Falcon, Venezuela, Mars 2002

 

Découpé dans le journal local, 

"El Universal" du samedi 2 Mars 2002,

cette poésie de Leonardo PADRON :

 

"""Mi único señorío"""

""Esa mujer que sube por mi cuello
y revisa mis ojos a la diez de la mañana
esa mujer que inicia virajes en mi deseo
y me alimenta con sus dedos de agua
esa mujer que colecciona ventanas
y me abraza la frente en los aeropuertos
tiene un talismán en sus senos
un señuelo de espalda y hogar
un exacto pájaro en su rostro.

Esa mujer que todos los días me clausura
y reúne piedras en un país desconocido
esa mujer que roba mis pulmones
y revuelve avispas con su mirada
esa mujer, famosa como Praga
y dulce como las camisas abiertas,
posee la alevosía de los vendavales
y encaja flores en mi pulso.

A cada mes la celebro como un diamante
A cada hora la unto en mis brazos
la retengo en mis dientes
y me bebo sus mareas
me apresto a su viscosidad de lluvia.

No tengo duraznos para su adiós.
No hay magia que la desaloje.
No hay música que ocurra y entienda
y la sobrepase.

Esa mujer que sube por mi cuello
y revisa mis ojos a las diez de la mañana
es mi suburbio,
mi racimo de melancolía,
mi flauta y mi huracán,
mi único señorío.""

 

"""Mon unique diamant"""

""Cette femme qui grimpe à mon cou 

Et surveille mon regard à dix heures du matin,

Cette femme qui dessine les courbes de mon désir 

Et me nourrit de l'eau de ses doigts, 

Cette femme qui collectionne des fenêtres 

Et m'étreint le front dans les aéroports,

Possède un talisman dans sa poitrine,

Un leurre à son dos, un foyer 

Exactement comme un oiseau sur son visage.

Cette femme qui tous les jours me clôture

Et rassemble des pierres dans un pays inconnu,

Cette femme qui dérobe mes poumons

Et lance des guêpes avec son regard,

Cette femme, célèbre comme Prague

Et douce comme une chemise entrouverte

Possède la traîtrise tempétueuse du vent

Et met des fleurs en cage dans les battements de mon coeur.

Chaque mois je la célèbre comme un diamant,

Chaque heure je la fonds dans mes bras

Je la retiens entre mes dents

Et je bois ses marées 

Je me pare de sa viscosité pluvieuse.

Aucun fruit ne peut la remplacer.

Aucune magie ne peut l'évincer.

Aucune musique qui viendrait à l'oreille

Ne peut la surpasser.

Cette femme qui grimpe à mon cou

Et surveille mes yeux à dix heures du matin

Est mon faubourg,

Ma grappe de mélancolie,

Ma flûte et mon ouragan,

Mon unique diamant.""

(traduction chiloedream)

 

En Mars 2002, pendant que je naviguais à bord de la belle Josefa Camejo, Sébastien avait déjà 15 ans.

Et la poésie m'accompagnait depuis toujours pendant mes longs voyages.

Le monde serait si peu sans poésie...

Bon anniversaire mon grand Sebastien.

 Page suivante :  ~~ NOTRE COUSIN D'AMERIQUE ~~

 

 

 

8 mars 2008

WINTER'S HEART

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Pour ceux qui aiment  ARAGON et Jean FERRAT :

http://www.dailymotion.com/video/x4n7ma_winters-heart_family

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Une autre chanson célèbre de Ferrat :

quand un artiste chante avec son âme,

la poésie devient éternelle :

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M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Qui chante au fond de moi au bruit de l'océan
M'en voudrez-vous beaucoup si la révolte gronde
Dans ce nom que je dis au vent des quatre vents

Ma mémoire chante en sourdine
Potemkine

Ils étaient des marins durs à la discipline
Ils étaient des marins, ils étaient des guerriers
Et le cœur d'un marin au grand vent se burine
Ils étaient des marins sur un grand cuirassé

Sur les flots je t'imagine
Potemkine

M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Où celui qui a faim va être fusillé
Le crime se prépare et la mer est profonde
Que face aux révoltés montent les fusiliers

C'est mon frère qu'on assassine
Potemkine

Mon frère, mon ami, mon fils, mon camarade
Tu ne tireras pas sur qui souffre et se plaint
Mon frère, mon ami, je te fais notre alcade
Marin ne tire pas sur un autre marin

Ils tournèrent leurs carabines
Potemkine

M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Où l'on punit ainsi qui veut donner la mort
M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Où l'on n'est pas toujours du côté du plus fort

Ce soir j'aime la marine
Potemkine

***

En 1966, j'avais 13 ans,

nous venions de quitter le jardin disparu de notre enfance...

Page suivante :  ~~ BON ANNIVERSAIRE SEBASTIEN ~~

 

 

4 mars 2008

VOYAGEURS

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Nous avons pleuré parce que nous ne pouvions aimer,

parce que nous ne nous intéressions à rien,

ne croyions à rien, vivions pour rien, parce que nous sommes libres...

Libres comme les barques perdues en mer...

( John DOS PASSOS, Dans tous les pays, 1934 )

 

Une chanson sérieuse pour accompagner ces images :

http://www.dailymotion.com/video/x4m2h9_ils-s-aiment_family

Et une autre chanson, moins sérieuse,

pour procéder à l'appel de l'équipage :

Appel_de_l_equipage

Page suivante :  ~~ WINTER'S HEART ~~

 

 

2 mars 2008

LILLE - LE MARCHE DU DIMANCHE

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Inutile d'aller à Ostende : A Lille, rue de Béthune, à la Brasserie "Aux Moules",

on vous sert les meilleures moules de la Planète.

Gérard Depardieu finit incognito le succulent bouillon de ses moules belges à la bière,

tandis que Mathilda May savoure ses moules à l'indienne...

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Dimanche paisible à Lille. Et ce lundi, je me souviens de la Pleine Lune

sur les remparts de la Maternité des Orangers à Rabat, voilà un an déjà...

Bon anniversaire Joëlle.

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De l'eau qui va ...

Du temps qui passe...

Des fleurs qui se dispersent...

Lequel voudrait m'entendre

Si je lui disais d'attendre ?

(Ise monogatari, IX ème siècle)

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1 mars 2008

OSTENDE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ostende, c'est à une petite heure de Lille en voiture.

Avec Anne-Laure, nous sommes allés voir la mer du Nord en hiver...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'ai enfin trouvé ce que je voulais devenir plus tard : un petit garçon

(Joseph HELLER, Panique)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L' âge venu,

j'ai compris la sagesse d'un vieux précepte irlandais :

Il faut vivre au bord de la mer.

La mer soulage les vieilles blessures et stimule l'esprit.

Elle vivifie les passions de l'intelligence et de la chair,

tout en amenant l'âme à trouver la sérénité 

(John HUSTON)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il reste toujours quelque chose à aimer dans un être qui souffre... 

(Lorraine HANSBERRY, Une raison au soleil)

 

 

Les deux amants marchèrent ainsi,

sur un petit rebord de temps surplombant les abîmes de l' éternité...

( Erica JONG, Les Parachutes d' Icare )

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je m'imagine avoir été un jeune garçon qui a joué sur la plage,

qui a trouvé un caillou mieux poli, une coquille plus gracieuse,

tandis que le grand océan des vérités étalait devant lui son mystère...

(Isaac NEWTON, Principes mathématiques de la philosophie naturelle, 1687)

 

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